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Guillaume Perault
L'énergie au service de l'humain
Géobiologie et construction
Retrouvez ces articles et vidéos sur : www.espace-humaniste.net
La peinture dans un lieu a un impact énergétique important. Conscient de cela, on peut améliorer la qualité d'une pièce, d'un mur, d'un plafond.
Voici un tour d'horizon non exhaustif de ce que l'on peut faire lorsqu’on repeint un mur :
- Préparation des murs : un bon nettoyage du mur est important de façon à appliquer la peinture sur une surface énergétiquement propre. J'utilise de l'eau chaude avec une lessive type St Marc qui est vibratoirement élevée pour le ou les murs en question avec une information de purification. Je passe avec une grosse éponge dessus. Une fois la surface sèche, je repère s’il y a des zones qui semblent encore énergétiquement "denses" ou "lourdes". Je reviens dessus si nécessaire avec un bol tibétain vierge qui vibre bien ou en faisant moi-même du son sur les zones.
- Choix de la peinture : Je choisi de préférence une peinture avec une chimie la plus allégée possible (j'ai peu d'expérience en la matière) et à base d'eau (acrylique). Je regarde s’il vaut mieux du mat ou satin ou brillant. Pour moi, j'ai une préférence pour le mat qui donne une sensation plus coton et donc vient un peu atténuer les angles et arrêtes. J'utilise du satin pour les parties salissantes type encadrement, porte, bref les parties qui ont besoin d'être lessivables. En fait, par expérience, le mat absorbe, rend énergétiquement la matière moins dure, moins "rebondissante" alors que le brillant à l'effet inverse. Il peut être utile dans les espaces qui ont besoin de cet effet.
Au niveau des couleurs on peut prendre en compte l'équilibrage des éléments terre, feu, eau, air et ce dont la pièce a besoin. Par exemple une chambre avec un sol en tommettes et poutres apparentes couleur bois aura tendance à avoir une ambiance terre et feu. On pourrait ajouter un soupçon de bleu clair pour ramener de l'élément air par exemple ou informer sa peinture blanche de l'élément air.
- Faire vibrer sa peinture consiste à en faire monter le taux vibratoire. Là encore, les possibles sont vastes. On peut y ajouter des informations énergétiques favorables au mur, comme un élément (feu air terre eau), un rapport cosmo-tellurique idéal pour le mur... La qualité énergétique de la peinture influencera grandement le rendu final.
- Peindre en conscience
Votre état d'être aura une répercussion importante sur le mur que vous peignez, la peinture pouvant s'imprégner de ce dans quoi vous êtes. Si vous peignez une chambre et que vous êtes pressé de terminer vos travaux, vous pouvez informer le mur d'une agitation qui n'aidera pas le lieu à remplir sa fonction d'un lieu calme et régénérant. Sans être pour autant dans un état de réalisation ;-) , il est préférable d'avoir le temps, d'être calme et tranquille. Lorsque l'on applique de la peinture sur un mur, on peut peindre au rouleau verticalement et repasser horizontalement ou peindre horizontalement et repasser verticalement. Si vous repasser votre premier passage de haut en bas horizontalement, on dit que vous tirez votre peinture à l'horizontal. Finir ainsi à pour effet d'élargir le mur sur les cotés et donc donne un effet d'agrandir l'espace à l'horizontal. Si vous faites l'inverse, cela donne pour sensation de "verticaliser" la pièce. A vous de sentir ce que l'espace a le plus besoin. Quand on peint un plafond, on tire sa peinture dans le sens de la lumière, c'est à dire qu'on fini de repasser dans le sens où la lumière rentre par les fenêtres. Je me suis amusé sur une partie d'un mur qui marquait un puits de décharge (c'est à dire là où les énergies partent en terre) à tirer ma peinture vers le bas sur cette partie : le résultat est impressionnant, l'énergie descend à cet endroit-là.
L'idée est de pouvoir sentir qu'est ce qui est le plus bénéfique à l'espace, ce qui va vers l'harmonie et de pouvoir ajuster son geste, son intention à cela, peindre en conscience.
Guillaume Perault
Peinture jaune avec une information solaire pour le jambage d'une vitrine et la porte d'entrée d'une salle de soin. L'idée était d'amener cette énergie dans le lieu.
Le bois est un élément très utilisé dans l'habitat. Que ce soit pour l'ossature de la maison, la charpente, le sol, l'ameublement, les finitions, les portes..., il est tout autour de nous.
Bon marché, écologique, beau... Le bois a beaucoup pour plaire.
Mais comment appréhender ce matériau énergétiquement ? Comment pouvoir l'utiliser au mieux ?
N'étant pas spécialiste sur les différentes essences et leur spécificité, je vous partage ici les principes de base, qui, à ma connaissance, sont très utiles lorsque l'on utilise du bois pour son habitation. Car mal employés, et de mauvaise vibration, les bienfaits du bois peuvent devenir une source de pollution importante pour votre environnement.
Le bois vient de l'arbre. L'arbre, comme toutes les plantes a un sens énergétique.
Poussant vers le ciel, l'énergie monte en cosmique du bas vers le haut. La partie basse est alors de polarité négative, tellurique, ou réceptrice et la partie haute positive, cosmique ou émettrice.
Si l'on se place devant le bout d'une poutre, on se sentira soit repoussé en arrière (face émettrice) soit attiré vers le bois (partie réceptrice). Voilà une première polarité.
(cf. illustration)
Tous les végétaux, en poussant, enregistrent un nord et un sud. Aussi, la face sud d'un arbre est émettrice et la face nord réceptrice. Face sud on se sent repoussé, face nord attiré.
(cf. illustration)
Une fois que nous avons compris cela, le champ des possibles devient très vaste pour bien employer ce matériau.
Par exemple, si nous devons utiliser des poutres pour notre plafond, on cherchera à avoir la partie visible (face au sol de la pièce) la partie réceptrice. De cette façon on va ouvrir la pièce vers le haut. L'inverse aura tendance à écraser la pièce.
C'est une pollution courante en géobiologie de l'habitat.
(On pourra aussi poncer les angles des poutres de façon à en réduire l'émanation.)
Ensuite on testera dans quel sens positionner les bouts de la poutre. Ce sera en fonction d' où se situe le nord de la construction, on testera alors ce qui est le mieux pour la pièce.
Pour un parquet, on procédera de la même façon, mais avec la face réceptrice visible. Énergétiquement, le sol a une fonction absorbante pour une meilleure connexion à la terre et pour évacuer les énergies. Cependant, le bois, ayant une nature énergétique isolante, c'est un matériau à éviter pour le sol.
Si vous construisez un meuble, vous pouvez aussi orienter le bois en testant ce qui correspond au mieux à ce que vous construisez (cf. voir photos). Construire ainsi a pour effet d'augmenter la qualité vibratoire de la réalisation et pour l'habitat, d'améliorer la qualité énergétique du lieu.
Sur les bois bon marché en lamellé collé, il sera plus difficile de mettre cela en pratique car les lamelles ne sont malheureusement pas assemblées selon cette logique.
Enfin la qualité vibratoire du bois dépend de comment a poussé l'arbre et comment il a été coupé. Un arbre violenté et mal mené, planté dans le seul but d'un rendement industriel vibrera moins bien qu'un arbre ayant eu l'espace et le temps de son développement. Cela parait évident, mais on oublie si souvent que toute chose respectée et aimée lui permet d'être dans son plein potentiel. Pour cela, on peut se renseigner sur la gestion des forêts d'où il est issu et vérifier sa qualité vibratoire au pendule par exemple.
Je vous propose un petit exercice :
Procurez-vous une bûche ou un bout de bois de bonne taille.
Posez vous tranquillement dans votre corps.
Soufflez 3 fois avec l'intention de relâcher.
Sentez tout votre corps, votre axe terre-ciel : les pieds dans la terre, le dessus de la tête vers le ciel.
Prenez la bûche entre vos mains comme sur la photo.
Sentez ce qui se passe dans votre corps, sur sa verticalité.
Sentez- vous l'ancrage s'accentuer ? (+ d'énergie dans vos pieds)
Ou alors sentez- vous + d'énergie allant vers le sommet de la tête ? (sensation d'être plus léger)
Inversez en gardant les mains comme pour la première partie du test.
Cela change t-il la sensation dans votre corps ?
Identifiez dans quel sens a poussé le bois, où était le ciel et la terre de l'arbre, d'où provient ce bois.
Si vous ne sentez rien ce n'est pas grave. Ne vous découragez pas. Ressayez plus tard.
Deuxième partie:
Maintenez toujours la bûche dans vos mains.
Sentez le mouvement de l'espace entre votre torse et la bûche. Cherche t-il à s'agrandir ?
Vous sentez-vous repoussé ? L'inverse ?
Déterminez le nord du bois et son sud.
Pour celles et ceux qui utilisent un pendule, on regardera dans quel sens il tourne positionné au dessus du bois : sens antihoraire face émettrice, sens horaire face réceptrice. Utile pour les gros morceaux ! ;-)
Bonnes expériences à vous,
Guillaume Perault.
De l'idée à la construction, une série en 20 épisodes
Une série créée par Orane et Rémi Dumas avec Sébastien Berger qui partage ses connaissances et expériences en géobiologie pour la construction d'habitats de bonne qualité énergétique.
Une mine d'or pour celles et ceux qui se lancent dans l'aventure de la construction et qui souhaitent créer des lieux énergétiquement bons pour l'humain.
A découvrir sur la chaine de l'Espace Humaniste !
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